Dans ma note du 11 avril 2006 " Pour des diagnotics de terrain en Lorraine ", je vous proposais cinq critères pour le choix et la mise en oeuvre d'un diagnostic de terrain.
Aujourd'hui j'insiste sur l'importance de la prise d'informations sur le terrain, à partir de l'observation directe.
L'efficacité d'un diagnostic repose en effet plus sur la réalité de l'activité observée que sur des interviews dans un bureau (hormis bien entendu le diagnostic de l'activité de ce bureau proprement dit).
Quelques soient les compétences des personnes interviewées, un diagnostic effectué à partir d'une interview dans un bureau risque de se limiter à diagnostiquer la représentation de la personne interviewée et de filter la réalité de l'activité, naturellement modifiée par l'affect et les projections de la personne interviewée.